Parc territorial Sylvia Grinnell (Iqaluit Kuunga)
À propos
Il y a plus de 7 000 ans, la région où est aujourd’hui situé le parc territorial Sylvia Grinnell était recouverte d’un glacier. À certains endroits, le glacier avait plus de 400 mètres d’épaisseur! Lorsqu’il s’est déplacé, il a sculpté le paysage. Aujourd’hui, le paysage est principalement constitué de basses collines rocheuses et de champs de rochers.
La rivière Sylvia Grinnell traverse ce parc et se déverse dans la baie Frobisher. Historiquement, elle était utilisée pour la pêche à l’omble chevalier, qui migre le long de la rivière pour frayer. Pendant des siècles, les Inuits de la région environnante ont visité cet endroit pour pêcher pendant l’été. Encore aujourd’hui, il s’agit d’un endroit très populaire pour la pêche.
Les gens viennent ici tout au long de l’année pour puiser de l’eau douce. En hiver et au printemps, les gens font un trou dans la glace pour recueillir l’eau froide de la rivière. As-tu déjà goûté l’eau de cette rivière?
PATRIMOINE NATUREL
Le sol du parc est principalement recouvert de plantes basses comme des arbustes et des graminées. Beaucoup de roches sont couvertes de différents types de lichens. Une variété de plantes colorées de la toundra poussent dans le parc territorial Sylvia Grinnell. Elles comprennent l’épilobe à feuilles larges rose et la saxifrage à feuilles opposées. On retrouve également du pavot d’Islande jaune, du céraiste vulgaire blanc et de l’oxyrie de montagne verte.
Un large éventail d’espèces animales vivent dans ce parc ou traversent la région. Tu peux trouver jusqu’à 40 espèces d’oiseaux dans le parc! Elles comprennent des corbeaux, des plectrophanes des neiges et des lagopèdes. Des bernaches du Canada survolent souvent le parc pendant leur migration. Tu peux aussi chercher des oiseaux rares comme des alouettes hausse-col et des faucons pèlerins.
Les mammifères du parc comprennent les renards arctiques, les lièvres arctiques et les lemmings. Lorsque la harde de caribous de l’île de Baffin est importante, tu pourrais même voir des caribous.
L’omble chevalier migre le long de la rivière Sylvia Grinnell à partir de la baie Frobisher de la fin du printemps au début de l’automne.
PATRIMOINE RÉCRÉATIF
Le parc territorial Sylvia Grinnell est le parc le plus visité au Nunavut. En hiver, il est populaire pour le ski de fond, le traîneau à chiens et la motoneige. En été, les Iqalummiut et les touristes visitent le parc pour pratiquer la randonnée, camper, pêcher et faire des feux de camp. Certaines personnes font même du qajaq sur la rivière!
Le parc Sylvia Grinnell accueille un grand nombre d’activités et d’événements culturels tout au long de l’été. En juillet, les gens visitent le parc à l’occasion de la Journée des parcs. La Journée des parcs est un barbecue communautaire annuel visant à célébrer l’utilisation passée et présente du parc Sylvia Grinnell. Tu peux également participer à des événements culturels hebdomadaires dans le parc pour t’initier au chant de gorge, apprendre la danse du tambour, fabriquer une kakivak ou préparer du pitsi.
Conseils
Les parcs et endroits spéciaux du Nunavut offrent des expériences inoubliables, mais voyager dans des zones éloignées peut impliquer certains risques. Nous incitons les visiteurs à prendre connaissance de ces risques avant leur voyage et de se préparer en conséquence. Le milieu arctique est vulnérable aux perturbations causées par l’humain et se rétablit très lentement. Minimisez votre impact sur l’environnement des parcs, suivez les règlements et ne laissez aucune trace de votre passage.
Les parcs territoriaux du Nunavut offrent aux yeux des voyageurs certains des paysages les plus grandioses et une faune magnifique et inimaginable, mais ils impliquent également des risques associés aux voyages en région éloignée. Nous incitons les voyageurs à être responsables de leur propre sécurité. Une préparation et des recherches soignées pour en savoir plus sur le territoire, la météo, la faune et les dangers potentiels locaux sont conseillées. Les conditions physiques dans les parcs, sur l’eau et sur les pistes, peuvent changer rapidement, tout comme les conditions météorologiques, et les rencontres avec la faune sont fréquentes.
La Commission mondiale sur l’environnement et le développement définit un voyage « durable » comme un voyage qui « répond aux besoins présents sans compromettre la capacité des générations futures de répondre à leurs propres besoins ». L’Organisation mondiale du tourisme précise qu’un voyage durable implique la « gestion de toutes les ressources de manière à combler les besoins économiques, sociaux et esthétiques tout en préservant l’intégrité culturelle, les processus écologiques essentiels, la diversité biologique, et les systèmes entretenant la vie ».
De l’information essentielle et opportune permettant de voyager de façon sécuritaire et durable dans nos parcs est offerte par le biais de règlements et de renseignements affichés dans nos parcs, sur les sites Web du gouvernement du Nunavut et par d’autres ressources de nos collectivités des parcs, de la part de guides et de chasseurs locaux ou encore d’autres résidents de la communauté, ainsi que dans un vaste éventail de documents imprimés et de ressources en ligne. Nous incitons vivement les visiteurs à consulter ces ressources pour s’assurer de vivre une expérience mémorable et sécuritaire, et de protéger l’héritage naturel et culturel unique du Nunavut.
.Le milieu arctique est vulnérable aux perturbations causées par l’humain et se rétablit très lentement. Minimisez l’impact que vous laissez sur l’environnement du parc. Les visiteurs doivent respecter tous les règlements du parc et sont encouragés à ne laisser aucune trace de leur passage.
Profitez du parc et respectez le territoire. Réduisez l’impact que vous avez sur l’environnement en suivant les règlements du parc :
- La loi protège les droits inuits de chasse, cueillette, pêche et camping dans le parc. Ne pas nuire aux utilisations traditionnelles du parc par les Inuits. Ne pas nuire aux utilisations traditionnelles du parc par les Inuits.
- Les véhicules tout-terrain endommagent la terre. Roulez uniquement sur les pistes désignées et utilisez les aires de stationnement dans le parc.
- Des permis de pêche sont exigés pour les non-Inuits. Le permis peut être acheté au bureau de la conservation de la faune, au ministère de l’Environnement ou de Pêches et des Océans du Canada, dans la plupart des camps de pêche sportive, magasins d’équipements sportifs, quincailleries, dépanneurs, et dans certains bureaux de la Gendarmerie royale du Canada.
- Respectez la faune et l’environnement. Ne vous approchez pas des animaux sauvages, et ce pour quelque raison que ce soit. Laissez les pierres, les plantes et les autres objets naturels là où vous les trouvez.
- Vous vous trouvez sur le territoire des ours. Il faut donc être prêt à les rencontrer. Restez vigilant; voyagez en groupes et avec un guide. Conservez les aires de camping et de pique-nique propres en tout temps. Rapportez les observations d’ours au bureau local de conservation de la faune et au personnel de Parcs Nunavut.
- Installez votre campement à une distance raisonnable des aires de fréquentation diurne pour permettre l’accès aux installations aux autres visiteurs des parcs.
- Respectez les autres usagers du parc. Faites le moins de bruit possible.
- Gardez les animaux domestiques en laisse et ramassez leurs excréments.
- Jetez les déchets dans des bacs ou emportez-les avec vous.
- Utilisez les toilettes extérieures dans le parc, ou si le parc n’en a pas, enterrez les déjections humaines.
- Les sites archéologiques sont protégés par la loi. Prière de ne pas toucher aux sites ou aux artefacts archéologiques. Rapportez les découvertes archéologiques au bureau du parc territorial.
Le Nunavut est le pays de l’ours.
Pour que votre visite soit sans danger et agréable, restez attentif à votre environnement, préparez-vous à une éventuelle rencontre et signalez toute observation d’ours ou tout incident au bureau local de la conservation de la faune et au personnel de Parcs Nunavut.
Il est possible de rencontrer des ours dans les parcs du Nunavut. Les rencontres d’ours blancs sont possibles partout, mais plus courantes dans les régions côtières. Des rencontres de grizzlis de Richardson sont susceptibles de se produire dans la partie continentale du Nunavut. Les personnes ayant l’intention de voyager dans les parcs du Nunavut peuvent réduire le risque de rencontrer un ours grâce à quelques précautions:
- Renseignez-vous sur la zone où vous planifiez faire une randonnée.
- Embauchez un guide local qui sait comment réagir à une rencontre avec un ours.
- Planifiez à l’avance, pratiquez-vous et sachez comment réagir à différents scénarios de rencontre avec un ours.
- Sachez où les ours peuvent se trouver à différents moments de l’année. Évitez ces zones ou soyez particulièrement prudent en les traversant.
- Faites preuve de vigilance et soyez conscient de ce qui vous entoure. Utilisez des jumelles en terrain dégagé pour vérifier la présence d’ours. Si vous remarquez un ours à une certaine distance, prenez des mesures pour éviter de le surprendre.
- Voyagez à la lumière du jour et évitez les zones à visibilité réduite.
- Surveillez les signes laissés par un ours comme les pistes, les excréments, les litières, les tanières ou les carcasses de phoque.
- Ne jamais s’approcher d’un animal fraîchement tué. Un ours peut être dans les environs.
- La nourriture transportée doit être dans des contenants hermétiques à l’épreuve des ours et il faut éviter de transporter des aliments ou des articles aux odeurs fortes. Rapportez tous les déchets au camp et jetez-les adéquatement. Des déchets peuvent attirer un ours vers vous ou votre campement.
- Considérez vous munir de répulsifs à ours comme des avertisseurs sonores ou un vaporisateur de poivre.
- Rapportez les observations ou les incidents impliquant un ours au bureau local de la conservation de la faune et au personnel de Parcs Nunavut.
Parcs Nunavut ont publié « La sécurité avec les ours polaires dans les parcs territoriaux du Nunavut », en mars 2007 et ont produit la vidéo « La sécurité au pays des ours polaires », une vidéo de 27 minutes produite en collaboration avec Parcs Canada. Cette vidéo contient des renseignements importants concernant la façon de réduire les risques de rencontre avec un ours blanc, et la meilleure réaction en pareil cas.
.Les droits des Inuits de jouir d’un parc et d’y exercer des activités traditionnelles sont protégés par l’Accord du Nunavut (AN) et par l’Entente sur les répercussions et les avantages pour les Inuit (ERAI). L’ERAI et l’AN protègent les droits des Inuits d’accéder aux parcs territoriaux aux fins de l’exploitation de la ressource. Les visiteurs des parcs doivent respecter ces droits et prendre les mesures appropriées pour éviter d’interférer ou de nuire aux activités traditionnelles des Inuits.
L’ERAI et l’AN protègent les droits des Inuits d’accéder aux parcs territoriaux aux fins de l’exploitation de la ressource. L’AN et l’ERAI protègent les droits des Inuits d’utiliser le territoire continuellement pour la chasse et la cueillette, les camps éloignés, les pierres à sculpture, l’accès aux terres et d’autres utilisations des parcs territoriaux.
Les activités d’exploitation des Inuits (la chasse, la pêche et la cueillette) sont permises dans les pacs territoriaux, et continueront de l’être dans le futur dans les zones où seront aménagés de nouveaux parcs territoriaux.
L’AN et l’ERAI exigent des Inuits et du GN de planifier et de gérer ensemble les terres, les eaux, et les ressources dans les parcs. La planification concertée et la cogestion forment le processus par lequel le gouvernement, les Inuits et les collectivités travaillent en synergie à la prise de décisions et à leur exécution. L’ERAI formalise la planification concertée et la cogestion en prescrivant les principes et les objectifs assurant une participation fructueuse des Inuits dans la prise de décisions concernant la planification et la gestion des parcs, autant à l’échelle territoriale que de la collectivité. Le Comité mixte de planification et de gestion du Nunavut (CCPGN) conseille sur les initiatives pour les parcs à l’échelle du Nunavut (article 13.1.1 de l’ERAI), et les Comités mixtes de planification et de gestion (CCPG), travaillant à l’échelle communautaire, planifient et administrent les parcs dans ou près d’une collectivité concernée (article 13.1.1 de l’ERAI).
Le processus de planification et de gestion suivi par Parcs Nunavut assurera que le qaujimajatuqangit inuit guide considérablement le processus décisionnel, et que les utilisations par les visiteurs, les programmes ou l’aménagement des parcs n’entrent pas en conflit avec l’utilisation et la jouissance des parcs territoriaux par les Inuits.
.Tous les sites archéologiques du Nunavut sont protégés en vertu des règlements sur les sites archéologiques et paléontologiques du Nunavut, lesquels interdisent la perturbation non autorisée. Ne déplacez pas les pierres, les os, ou les artefacts, et rapportez les nouvelles découvertes archéologiques au gouvernement du Nunavut.
La protection du patrimoine archéologique et paléontologique du Nunavut est une priorité importante du gouvernement du Nunavut (GN), et une responsabilité partagée avec le gouvernement du Canada. En vertu de la Loi sur le Nunavut, les règlements pour la protection, les soins et la préservation des sites archéologiques et paléontologiques sont réglementés sous l’autorité du ministre de la Culture et du Patrimoine. Des permis de recherche sont nécessaires pour étudier, accéder, documenter et examiner les bases de données et sites archéologiques ou paléontologiques. Le ministère de la Culture et du Patrimoine exige un permis pour visionner les données déjà enregistrées dans la base de données des sites archéologiques du Nunavut et exige des permis archéologiques et paléontologiques (classe 1 ou classe 2) pour les projets de recherche et d’inventaire sur le terrain.
Les permis de classe 1 autorisent seulement la documentation de sites archéologiques ou paléontologiques, y compris la préparation d’une carte pour un site, l’enregistrement de l’emplacement géographique du site, et le nombre, le type et la répartition des caractéristiques qui y sont présentes. Les permis de classe 1 ne permettent pas la collecte d’artefacts archéologiques.
Les permis de classe 2 autorisent la documentation de sites archéologiques ou paléontologiques ainsi que l’excavation et le retrait d’artefacts ou de spécimens. Ces permis sont attribués seulement aux archéologues ou aux paléontologues qualifiés professionnellement.
Des renseignements supplémentaires peuvent être consultés dans le document du ministère de la Culture et du Patrimoine : Guidelines for Applicants and Holders of Nunavut Territory Archaeology and Palaeontology Permits (en anglais).
Le ministère de la Culture et du Patrimoine administre également la politique sur les restes humains (Human Remains Policy) pour s’assurer que les recherches archéologiques ou les analyses de restes humains ou de matériel funéraire connexe sont effectuées dans le respect des valeurs des Nunavummiut, les principes éthiques et scientifiques, et qu’elles se conforment aux lois applicables, aux codes de conduite, et aux conventions.
Si des sites ou des artefacts archéologiques ou paléontologiques sont trouvés dans un parc territorial, les règlements exigent de ne pas toucher, de ne pas déplacer ou retirer des pierres, des os ou des artefacts, et de rapporter immédiatement ces découvertes au GN.
Le processus concernant les découvertes d’artefacts est très simple. Ces découvertes doivent être rapportées au bureau territorial de l’archéologie, en fournissant le plus de détails possible, par exemple :
- le nom de la ou des personnes qui ont trouvé l’artefact;
- la date de la découverte;
- l’emplacement de la découverte (avec les coordonnées GPS) si possible;
- des photographies, si possible;
- toute autre information pertinente.
Le ministère de la Culture et du Patrimoine se penchera alors sur la question et fournira des recommandations ou des mesures à prendre.
Trois livrets d’information générale sur l’archéologue au Nunavut de la Fiducie du patrimoine inuit sont offerts en ligne (en anglais) (http://www.ihti.ca/eng/iht-proj-guide-booklets.html) :
- Booklet for Northern Communities;
- Booklet for Northern Heritage Workers;
- Booklet for Northern Students.
Les parcs procurent un lien émotionnel profond avec la terre. On dit de ces lieux qu’ils sont « katjaqnaaq », ce qui évoque le sentiment d’être heureux dans un endroit magnifique et spécial, d’avoir trouvé la paix dans ce lieu, d’y être chez soi.
Il faut vivre l’expérience de nos parcs pour les comprendre. Nous devons écouter la terre.
Nunavut, « notre terre », se définit par ses habitants et ses lieux. Il s’agit d’un territoire arctique qui évoque des images de vaste espace et de cieux infinis, des immenses plaines de la toundra, aux sommets couverts de glace, de mers et de territoires où abondent les espèces sauvages, et de riches traditions culturelles encore pratiquées de nos jours.
« Katjaqnaaq », autant un sentiment qu’une expression, révèle la profondeur de l’émotion et du lien unissant un endroit d’une beauté et d’une importance incroyables. Soufflé comme un soupir, katjaqnaaq peut signifier « Ha! Je suis heureux ici, je fais partie de quelque chose ». Exprimé avec joie, le mot signifie : « Oh! Quel endroit magnifique! » Quelle que soit son utilisation, c’est un mot qui évoque l’interdépendance d’une personne et de son milieu et un sentiment de paix et de raison d’être.
La division des Parcs et des Endroits spéciaux du gouvernement du Nunavut travaille avec les Nunavummiut afin de découvrir et de protéger ces régions importantes à titre de parcs territoriaux et d’endroits spéciaux, de comprendre qu’elles signifient beaucoup de choses pour beaucoup de gens : ce sont des endroits d’évasion, des lieux de réflexion, des lieux de pouvoir qui célèbrent notre patrimoine culturel et naturel.
Dans Le Nord, l’idée que l’on se fait d’un parc ou d’un endroit spécial est différente. Elle est plus liée à l’utilité ainsi qu’à être sur la terre plutôt qu’à la beauté et à l’esthétique, qui sont appréciées d’une autre façon. Au Nunavut, les endroits spéciaux sont des lieux de premier choix pour la chasse et la pêche, de bons sites de camping, des endroits où des groupes de gens s’assemblaient par le passé, ou des lieux d’importance mystique.
.Did you know?
Le nom d’origine de la rivière Sylvia Grinnell était « Iqaluit », ce qui signifie « beaucoup de poissons ». L’endroit où est aujourd’hui située la ville d’Iqaluit s’appelait « Manirajak », ce qui signifie « terre plate ».
Tu peux également en apprendre davantage sur les parcs du Nunavut et l’histoire des Inuits en participant à un jeu de géocachette. Il existe un populaire jeu de géocachette dans le parc territorial Sylvia Grinnell. La géocachette est une activité de plein air semblable à une chasse au trésor effectuée à l’aide d’un téléphone intelligent ou d’un GPS.
Le savais-tu?
Le nom d’origine de la rivière Sylvia Grinnell était « Iqaluit », ce qui signifie « beaucoup de poissons ». L’endroit où est aujourd’hui située la ville d’Iqaluit s’appelait « Manirajak », ce qui signifie « terre plate ».
Tu peux également en apprendre davantage sur les parcs du Nunavut et l’histoire des Inuits en participant à un jeu de géocachette. Il existe un populaire jeu de géocachette dans le parc territorial Sylvia Grinnell. La géocachette est une activité de plein air semblable à une chasse au trésor effectuée à l’aide d’un téléphone intelligent ou d’un GPS.
Community Joint, Planning and Management Committee
- Adamie Naulaq Inookie (Chairperson)
- Peesee Pitsiulak-Stephens
- Mary Ekho-Wilman
- Okalik Eegesiak
- Meeka Mike
- Frank Pierce
Comité mixte de planification et de gestion communautaire
- Adamie Naulaq Inookie (Chairperson)
- Peesee Pitsiulak-Stephens
- Mary Ekho-Wilman
- Okalik Eegesiak
- Meeka Mike
- Frank Pierce
Resources
Contact spécifique au parc
C. P. 1000, succursale 1340
Iqaluit (Nunavut)
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